Accueil des migrants Vs opérations terrestres: la solution la moins chère

Publié le par georgoharisso57

Pourquoi faire prendre des risques insensés pour le long voyage, donc dans cette logique, il faudrait affrêter des navires à la source

Par contre s'est-t-on posé la question de la situation économique de notre pays, le chômage est important, de nombreux français recherchent un emploi, mais cela semble secondaire

L'Allemagne évalue à 10 milliards d'euros le coût de l'acceuil des migrants, rien que pour cette année, alors que les moyens militaires pour mettre un terme au conflit contre daesh seraient nettement inférieurs

Quelques jours de bombardement des installations pétrolières, une opération terrestre avec 20 000 soldats expérimentés , appuyé par les forces irakiennes , ainsi que les troupes de Bachar en Syrie, avec tous les hélicoptères disponibles de la coalition

En 60 jours, le problème est règlé, et le coût final serait inférieur que dans la situation de passivité actuelle

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T
En 2015, on devrait savoir qu'écrire : "Quelques jours de bombardement des installations pétrolières, une opération terrestre avec 20 000 soldats expérimentés , appuyé par les forces irakiennes , ainsi que les troupes de Bachar en Syrie, avec tous les hélicoptères disponibles de la coalition. En 60 jours, le problème est réglé", c'est tout de même du Yaka-Faukon qui conduit inévitablement dans le mur. Les derniers exemples sont remarquables : Somalie 1993, Afghanistan 2001, Irak 2003, Libye 2011 ont tout de même été de cuisants échecs, non ? <br /> Ensuite peut-on réellement s'associer à l'actuel régime en place en Syrie ? Cela pose tout de même de sérieuses questions morales et éthiques, non ?<br /> Oui, il y a du chômage en France. Mais est-ce une raison valable pour ne pas aider les autres ? Oui, c'est secondaire. Même tertiaire, non ? Je pense qu'il vaut mieux aujourd'hui être au chômage en France que travailleur à Alep !
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G
C'est comme une maladie, plus on laisse courir, plus le traitement sera lourd pour en sortir<br /> Pour Bachar, il faut s'allier au moindre mal
R
Les gens fuient autant bashar al assad que Daesh....<br /> Aider le dictateur n'est qu'un solution très simpliste.<br /> Si on reprend l'image de la seconde guerre mondiale. Aider le teint syrien reviens a aider les nazi
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G
Pour l'exemple de la seconde guerre mondiale, on a bien pactisé avec les bolchéviques pour éliminer les pires
G
Il faudrait identifier le moindre mal et s'y allier, et prendre aussi la leçon de qui s'est passé en Lybie