Overdose fiscale: le point de non-retour(2)

Publié le par georgoharisso57

On assiste en temps réel à l'effondrement de l'économie française:

L'overdose fiscale, dont il n'est point besoin de détailler, fait fuir les investisseurs , les capitaux et leurs détenteurs.Et ce dans les limites maximum de leurs éléments délocalisables

Le point de non-retour est tel, que le seul moyen d'en sortir serait la dissolution du parlement, car les socialistes traînent en plus de l'action réelle une étiquette et une réputation qui ne pourrait pas rendre crédible le désocialisme

A voir en complément l'article de JJ Netter:

http://www.atlantico.fr/decryptage/overdose-fiscale-est-en-train-provoquer-effondrement-economie-francaise-jean-jacques-netter-573690.html

extrait:

 

Malheureusement, pour créer des emplois, il faut un entrepreneur qui ait envie d’investir, un banquier qui ait envie et la possibilité de prêter de l’argent et un investisseur qui ait envie de prendre du risque, car il sait que si l’entreprise réussit, il pourra en percevoir un retour sur investissement convenable.

La politique fiscale menée par le gouvernement va pourtant à l’encontre de ces idées simples. La tranche marginale de l’impôt sur le revenu atteint maintenant 64% (= tranche marginale à 45% + surtaxe de 3% pour revenu > 250 000€+ Prélèvements sociaux de 15,5%). En Allemagne on est à 27% !

Les plus values sur titres réalisées en 2012 seront taxées globalement à 39,5% soit le taux de 24% auquel s’ajoute 15,5% de prélèvements sociaux.

La taxation du capital est alignée alignée sur celle du travail, on va arriver à 43% dans le meilleur des cas, ce qui est une zone confiscatoire. L’UMP en a rêvé, les socialistes l’on fait, dit Alain Madelin ancien Ministre de l’Economie.

Nous avons désormais le record du monde de la taxation de la matière grise !

Quant à l’ISF il prendra désormais en compte des revenus virtuels non distribués, notamment dans le domaine de l’assurance vie. L’ISF devrait selon Alain Mathieu Président de Contribuables Associés être rebaptisé "Incitation à Sortir de France" car pour payer l’ISF il faudrait que les "riches" dont la France a tant besoin pour investir, soient assurés sur longue période d’un retour sur investissement de 9%, ce qui est quasiment impossible à réaliser dans l’environnement actuel !

 

 

      Conclusion:

Je dirais que l'argent n'a de patriotisme que dans le rêve des socialistes 

On a connu l'ère Mitterand, on n'est pas mort, oui mais:

Le gouvernement socialiste de l'époque avait institué un controle des change très strict,(pour contrer l'énorme évasion) par exemple,un particulier, à l'époque, ne pouvait pas envoyer plus de 500 francs dans un pays hors CEE

De plus, grâce aux multiples dévaluations du franc, on arrivait encore à conserver une certaine compétitivité

 

Nous sommes maintenant en zone euro, pas de dévaluation et pas de controle des changes, donc cette fois:

on est mal barré

 

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article