La finance dit merci Monsieur Hollande
Un adversaire soi-disant, mais Hollande a contribué à pousser la banque centrale européenne dans ses retranchements
Un programme de quantitative easing de 1100 milliards d'euros, sans compter les lignes de crédit offertes aux banques à des taux quasi-nuls
Les établissements financiers croulent sous la manne, ce qui pour un secteur d'activité plutôt parasite, en tous cas qui ne constitue pas le corps industriel, est une gageure
Et la croissance économique va miraculeusement dépasser légèrement les 1 %, le taux de chômage ne devrait que faiblement augmenter
Les produits dérivés se multiplient, les affaires marchent et tous en choeur disent merci bien Monsieur Hollande