Nous n'entendons pas demander à un enseignant qui aujourd'hui ne travaille pas, compte tenu de la fermeture des écoles, de traverser la France entière pour aller récolter des fraises gariguette

Publié le par georges49

Nous n'entendons pas demander à un enseignant qui aujourd'hui ne travaille pas, compte tenu de la fermeture des écoles, de traverser la France entière pour aller récolter des fraises gariguette

Phrase assez malheureuse de la porte-parole du gouvernement, mais une solution en vue en utilisant les migrants pour combler les besoins des agriculteurs

La Seine et Marne mobilise ces ressources

En raison du Covid-19, les exploitants «ne disposent pas de la main d'œuvre saisonnière étrangère nécessaire»,  : des bras qui font défaut surtout pour «le ramassage des fruits et légumes en terre (notamment des fraises et des asperges)», comme pour planter «les légumes qui seront récoltés en juin».  Ces demandeurs d'asile, précise le communiqué, sont issus «des 5 Centres d'hébergement provisoires que compte le département» et le «centre d'accueil et d'examen des situations». Et la préfecture de préciser que le dispositif sera «le cas échéant» étendu «à d'autres secteurs d'activités connaissant le même besoin de main-d'œuvre». 

 

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