Florange: l'espoir ridicule
Pourtant Hollande lors d'un déplacement au cours de sa campagne électorale l'avait bien dit: il ne s'engagait en rien sur l'avenir des aciéries de Florange.
L'assistance espérait, fondait des espoirs(ou plutôt de vagues espoirs) , et les ouvriers concernés, aveuglés par l'antisarkozisme préconisé par les syndicats se voyaient dans l'obligation de voter dans le bon sens mais en aucun cas revendiquer quoi que ce soit.
Le résultat, on le connait, mais le pire dans l'histoire , c'est que Sarkozy aurait pu faire mieux.
Bien qu'accaparé à sauver sa place, il avait prévu de sortir le carnet de chèque à hauteur de 150 millions d'euros, ce qui avec le projet ulcos pouvait effectivement relancer une partie de la production en fonte.